Glass Museum

Reflet

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Crée en 2016, Glass Museum est un duo de musique instrumentale originaire du Hainaut fondé en 2016 par Antoine Flipo (piano) et Martin Grégoire (batterie), aux confins du jazz et de la musique électronique. Le projet compte à son actif deux albums « Deux » sorti en 2018, et « Reykjavik » sorti en 2020.

Le groupe prépare actuellement la sortie d’un troisième album « Reflet » qui sortira en avril 2022 sur le label Sdban Records. En parallèle d’une tournée dans les pays limitrophes (une quinzaine de dates sont déjà confirmées et annoncées en Belgique, France, Allemagne, Pays-Bas), Glass Museum s’installe à l’Eden, le temps d’une résidence pour élaborer la mise en scène de cet album.

La musique de Glass Museum est organique, sensible et immersive. Le mélange des sonorités occidentales et orientales pousse à l’imaginaire, et invite le spectateur au voyage. « Reflet », ce nouvel album joue avec l’équilibre entre le réel et le fictif.

Les objectifs de cette résidence

A l’image de cet album, l’objectif est de mettre en place un live en cohérence avec leur propos artistique. Cela se traduit premièrement par un travail sur différents éléments scéniques tels que : un travail d’interprétation – la programmation électronique de samples – travail sur le son (présence de notre ingénieur du son) – travail de « coaching scénique » avec un coach externe – mise en scène – travail sur les lumières.

Travail scénographique

En plus de ce travail scénique habituel, Glass Museum désire ajouter une plus-value à ce nouveau live, en créant une scénographie en collaboration avec Marie Douel, scénographe avec qui ils ont déjà collaboré sur une vidéo « Reflet ». La vidéo met en scène les musiciens au travers d’une scénographie composée de deux tulles semi-transparents. Ces structures flottantes dans l’espace amènent des visuels de cristaux organiques autour de la performance live des musiciens. Ces éléments produits par le collectif OHME (une organisation bruxelloise de production et recherche en Artscience), proviennent d’un microscope à lumière polarisée et questionnent le rapport entre l’infiniment petit et l’infiniment grand.

Après cette première collaboration, ils souhaitent désormais réfléchir à une scénographie qui traduirait une expérience visuelle et sonore pensée pour le live.